Dans une étude que reporte eMArketer, le social shopping ( ecommerce utilisant les réseaux sociaux ) ne représente toujours qu'une toute petite portion des achats de vêtements aux US.
"There are some consumers who are avid readers of blogs and take their buying cues from social communities," said Jeffrey Grau, senior analyst at eMarketer. "But, by and large, they represent a tiny fraction of apparel shoppers.
"Consumer reviews and ratings seem to play a small role in influencing apparel purchases," Mr. Grau said. "They work better for products that are easy to compare and are sold by a variety of retailers."
En fait les retours consommateurs et les notes données par les utilisateurs semblent jouer un rôle très faible pour les achats de vêtements.
Une étude de DoubleClick ( de Juillet 2006 ) montre que 1% des internautes américains ont acheté vêtements basé sur une appréciation de leur réseau social.
Il est intéressant de noter que 26% des ventes ont lieu en utilisant dans le processus de décision le site de la marque aux US. C'est un chiffre très important qui montre que les marques ne peuvent plus se contenter d'un simple site plaquette exprimant l'essence de la marque. Les produits doivent être présentés et mieux que ça : vendus.
A noter également le faible effet des sites de comparaisons pour les vêtements.
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Still, ruling out social communities and networks altogether might not be a good blanket policy, according to Debra Aho Williamson, senior analyst at eMarketer.
"MySpace has launched a fashion channel," Ms. Williamson said. "They also are launching an ad-targeting program with 10 to 12 consumer segments. One of the segments is fashion.
"Apparently there are enough people on MySpace mentioning apparel brand names or who have pictures of themselves taken in New York during fashion week to make the segment a viable marketing target," she said.
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