D’après l’étude l’IFM, nous voyons une augmentation nette de la part des enseignes dans la part du CA online. Elles ont gagné 6 pts de part de marché par rapport à l’année dernière… Sans oublier que les ventes de vêtements en ligne comptent désormais pour 7,6 % de l’ensemble des dépenses d’habillement des Français, contre 5,2 % l’année précédente.
Dépense habillement online : 7,6% (5,2 % l’année dernière)
Voici comment se répartit ce chiffre d’affaires par canal de vente selon l’étude de l’IFM:
Extrait de l’article
Dans la répartition du e-commerce de vêtements par catégorie d’acteurs, ces spécialistes des catalogues occupent toujours de loin la première place, avec près de 50 % du total des ventes, part en sensible diminution depuis quelques années même si l'effritement s'est ralenti en 2010. La pratique du multi-canal reste beaucoup moins répandue en France qu’aux Etats-Unis, et les click and mortars (chaînes de mode essentiellement) ne représentent que 22 % des ventes d’habillement en ligne. Néanmoins, leur part relative a progressé de façon significative (+6 points au cours des 12 derniers mois) en liaison avec l'intérêt croissant pour le e-commerce manifesté par les enseignes. De fait, les acteurs importants de la distribution de mode européenne qui ne sont pas encore accessibles aux consommateurs français sur Internet deviennent de plus en plus rares.
Les pure players spécialisés dans la vente de dégriffés recueillent 13 % du CA et les sites d’intermédiation entre particuliers (C to C) 7 %. Avec 8 % du total, les autres acteurs regroupent des propositions différenciées et atomisées : sites multimarques proposant des créateurs, ventes directes des marques, habillement sur-mesure, sites étrangers, niches et produits très spécifiques.
Source : Mode et Internet Site Fevad, Etude IFM/FEVAD
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