2000 entrepreneurs sous la coupole du grand palais a Paris.
Un bel événement qui montre le dynamisme du tissu PME dans chacune des régions.
Les ateliers de connexion fonctionnement à plein régime, je suis surpris par l'assiduité de tous.
C'est le président Sarkozy qui a ouvert les différentes présentation.
Il ouvrira son discours par quelques commentaires très solennel sur la situation au japon :
"La situation au Japon est extrêmement préoccupante, elle est très grave, et les heures qui viennent sont des heures essentielles pour voir si nos amis japonais peuvent maîtriser la situation ou si malheureusement cette situation va en empirant", a-t-il déclaré.
M. Sarkozy a estimé que la catastrophe en cours au Japon imposait au gouvernement "un devoir de vérité sur les conséquences qu'il faudra en tirer". La "transparence sera le maître mot de l'action gouvernementale", a-t-il ajouté.
Comme il l'a fait mercredi matin devant le Conseil des ministres, le président a également évoqué un "devoir de sang-froid", estimant que la catastrophe japonaise ne devait pas aboutir à une remise en cause du choix par la France de l'énergie nucléaire.
"Quand il y a une crise, il faut avoir du sang-froid. Notre pays a fait des choix (en faveur du nucléaire, ndlr), des choix très importants, à la fois pour la compétitivité de l'économie française et également pour le respect des engagements que nous avons pris sur le rejet de CO2 dans l'atmosphère".
"Nous avons fait un choix, et on ne remet pas en cause des choix aussi importants pour l'indépendance de notre pays, uniquement parce qu'avec la multiplication des crises, il conviendrait de multiplier les pertes de sang-froid", a estimé le chef de l'Etat.
Ensuite le président a fait un rappel des actions prises en faveur des entreprise pendant son mandat, en rajoutant constamment le fait qu’il ne voulait bien sur pas faire de politique.
Sarkozy passe bien auprès des entrepreneurs, c’est certain. En politique habile il appuie là ou ça fait mal.
Sa posture est le président pas très populaires parce qu’au manettes pour des réformes difficiles à faire : Retraites, Universités, Grand emprunt pour l’investissement.
Il fut fortement applaudi quand il prend lui même l’habit de l’entrepreneur. Il ventait les mérites des entreprises : un leader, un projet, une mission, une équipe… et se reprenant vite : “je parlais des entreprises” et montrant les 5 ou 6 ministres présents dans la salle “et non pas d’un autre cercle”.
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