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L’EBG frappe fort pour ses journées mobiles et social média le 22 et 23 Novembre.
C’est pour la première fois une vraie portée européenne, à travers la présence de keynotes, d'intervenants et de visiteurs internationaux.
Le line-up de speakers est réellement impressionnant. Deux scènes de tables rondes en parallèle chaque jour, dressant un bilan stratégique et prospectif de tous les sujets relatifs au marketing mobile et au social média.
Près de 2 500 visiteurs, annonceurs de grandes marques, médias, opérateurs et équipementiers, éditeurs et développeurs d'applis, agences marketing et mobiles, presse…
L’évenenement va démarrer avec Sir Martin Sorrell, CEO of WPP sur une thématique des medias sociaux et mobiles, Les médias Social et Mobile constituent-ils un enjeu majeur pour les éditeurs, les producteurs et les grandes marques ? Quels bouleversements entraînent-ils dans les usages, la consommation média, les modèles économiques, les équilibres entres grands acteurs ? Mobile et Social sont-ils deux dimensions distinctes d’une même révolution ? La continuité de la révolution Internet ? Quel écosystème global émergera du développement de ces supports et de leur fusion/compétition avec les médias classiques et notamment la Télévision ?
Tablettes tactiles pour réunions professionnelles et team building avec Urban Gaming
Imaginez, vous êtes en pleine réunion professionnelle quand une équipe de joyeux lurons débarque. Ils forment des équipes, remettent à chaque équipe une tablette tactile et vous voilà éparpillés dans la ville transformée en terrain de jeu grandeur nature…
Les tablettes tactiles dépoussièrent ainsi le secteur du team building destiné à briser la glace et à renforcer l’esprit d’équipe.
La société UrbanGaming est à l’origine de cette tendance et propose de rendre ludique toutes les réunions professionnelles, team building, et formations.
[NDLR] N’hésitez pas à les contacter si vous avez besoin d’animer vos réunions pros, ces petits gars sont vraiment sympathiques !
Source : www.urbangaming.com
Martin Tissier, fondateur de la société UrbanGaming, qui met à disposition des tablettes tactiles et des modes de jeux dans le cadre de réunions professionnelles et de team building.
Martin a notamment travaillé durant 3 ans à l’EBG sur les livres Internet Marketing 2009, 2010 et 2011.
http://www.urbangaming.com
EXCLUSIF. Hollande et Aubry ont proposé à la candidate malheureuse à la primaire citoyenne la présidence de l'Assemblée nationale si la gauche gagne les législatives en 2012.
Au perchoir, elle entend s'investir pour mener à bien différentes réformes importantes, comme celle concernant les institutions. © Guibbaud Christophe / Abaca
via www.lepoint.fr
Le point nous dit par la voix de Michel Revol : Ségolène Royal est bien placée pour devenir présidente de l'Assemblée nationale, si la gauche gagne les législatives en 2012. La proposition, confie la présidente de Poitou-Charentes, lui a été faite par Martine Aubry et François Hollande lors des entretiens qu'elle a eus avec eux au lendemain du premier tour de la primaire. Ségolène Royal ne briguera pas son ancienne circonscription des Deux-Sèvres, détenue par Delphine Batho, mais celle de La Rochelle. C'est son titulaire actuel, le maire Maxime Bono, qui lui a proposé de lui succéder, explique Ségolène Royal. Si elle est élue députée, la présidente de Poitou-Charentes n'est toutefois pas certaine de démissionner du conseil régional. "A priori, je finirai mon mandat", assure-t-elle. Au perchoir, elle entend s'investir pour mener à bien différentes réformes importantes, comme celle concernant les institutions. Une autre façon de peser politiquement après sa défaite à la primaire socialiste"
C'est vrai ça pourquoi attendre le vote des citoyens? Et puis Ségolène elle n'en démord pas, la France a besoin d'elle. Après tout la France n'a pas voulu d'elle en 2007, la gauche n'en a pas voulu comme candidate ( et de loin ), mais avec une petite combinatoire avec le PS, on peut briguer un poste a partir d'une circonscription pas trop difficile et le support des élus PS. Et hop la voici déjà dans les habits d'une troisième personnage de l'état.
Je l'imagine avec un carnet à spirale :
Présidente de la république : Non
Présidente du Sénat : Trop tard
Premier Ministre de François Hollande : faut pas travailler avec son ex.
Présidente de l'assemblée : ah oui ça c'est libre.
Un peu trotskiste le titre de la conférence, mais je ne peux rien dire c’était ma proposition.
Dans le cadre des conférences du NeuillyLab, la ville de Neuilly-sur-Seine organise une rencontre avec des entrepreneurs et acteurs majeurs du commerce électronique afin de dresser un panorama du secteur et de partager les perspectives offertes par les nouvelles technologies et nouveaux services :
Belle initiative du Maire Jean-Christophe Fromantin et de son Adjoint Christophe Aulnette pour aider les dirigeants et les entrepreneurs de la ville à se rencontrer autour de ses thèmes en constante ébullition.
Depuis son lancement en décembre 2004, Google Books a numérisé plus de quinze millions de livres, plus que tout le catalogue de la BNF. C'est aujourd'hui, et de loin, la plus grande bibliothèque numérique du monde. Une tâche titanesque que Google n'accomplit pas seul.
Tout commence en 2009, lorsque Google achète reCaptcha, une start-up spécialisée dans les captchas, ces petites images utilisées sur de nombreux sites, qu'il faut déchiffrer et qui servent à distinguer les ordinateurs des humains (pour empêcher le spam, par exemple).
Plus de 100 000 sites ont implémenté le système, qui est utilisé quotidiennement par près de 30 millions d'utilisateurs, qui passent chacun une poignée de seconde à résoudre le captcha. Des centaines d'heures perdues ? Pas pour Google, qui a décidé d'utiliser cette technologie pour poursuivre son travail de numérisation.
Aussi pour de vieilles éditions du New York Times
Capture d'écran de Google.com/ReCaptcha (Google)
Dans chaque captcha proposé par le service, le premier mot est un mot « test », celui qui est utilisé pour savoir si oui ou non vous êtes un humain. Le second, c'est un mot contenu dans un livre numérisé, que Google n'est pas parvenu à déchiffrer. Ce mot est soumis à de nombreux utilisateurs : au bout de plusieurs réponses identiques, le mot est « appris » par l'algorithme de Google, qui pourra mieux le reconnaître dans le futur et qui l'insère dans le texte numérisé.
C'est ainsi que des milliers d'internautes contribuent bien involontairement à numériser des livres pour Google Books ou de vieilles éditions du quotidien américain The New York Times.
Une goutte d'eau ? Loin de là. En 2008, selon le magazine américain Science, si on mettait à profit toutes les captchas utilisées sur Internet, on pourrait retranscrire... 160 livres par jour.
via www.rue89.com
Lu sur : Psitt, Google vous utilise à votre insu pour numériser des livres (Rue89 Eco) Article de Martin Untersinger (Etudiant).
Déjà 15 millions de livres et l’algorithme qui se perfectionne grace au Captcha... ça c'est du crowd-sourcing!