J’ai testé la petite application qui permet d’envoyer sur twitter des questions préparées par l’UMP pour les candidats à la primaire PS.
Si vous manquez d’idée ou de questions, pas de soucis, l’UMP vous propose des exemples tout prêts… C’est un peu du pré-maché mais ça permet d’inonder un peu les TLS. Bizarrement le hashtag n’est pas #primairesps ou #primaire
Et hop.
Nous avions hésité avant de choisir “Drive” mais sur les conseils de mon amie Catherine B., on finit par se décider, dimanche soir, c’est Drive. Un film pas comme les autres, elle m’avait dit. Où on y voit des garagistes sexys. Elle ne m’avait pas tout dit.
Le film est remarquable, le tempo est extrêmement déroutant, pour ce type de film. On y trouve des passages rapides puis des lenteurs très modernes. Quand je dis moderne, j’aurai pu faire référence à Somewhere de Sofia Copola où l’on retrouve ces longs plans que certains ne trouvent pas moderne mais juste ennuyeux. La ce n’est pas le cas : tout passe. Accompagné il est dit par une bande son pleine de génie et d’électro branchée.
J’ai adoré les gros plans magnifiant les scènes, mais aussi les faux-ralentis quasi “matrixien” comme dans la scène de l’ascenseur… Bref la claque et bientôt culte.
C’est officiel maintenant : l’EBG organise un grand débat citoyen sur le sujet du numérique, en présence des Candidats à l’Election Présidentielle.
"Quelle Politique Numérique pour la France ?"
L’évènement se tiendra le Jeudi 24 Novembre à Paris et sur Twitter
L’Electronic Business Group (EBG) réunit le Conseil National du Numérique (CNN) et les associations représentatives de l’économie numérique - Fevad, ISOC et Syntec Numérique - pour débattre avec les candidats à l’élection présidentielle de leurs projets relatifs au numérique, jeudi 24 novembre 2011 à Paris (Université Dauphine).
Il nous semble que la stabilité du cadre règlementaire est une condition indispensable au développement de l’économie numérique. Nous attendons des candidats une clarification de leurs positions dans les domaines suivants : l'enjeu du numérique dans les libertés fondamentales (dont la net neutralité) ainsi que les mesures qui permettront de renforcer la compétitivité des entreprises numériques qui se créent sur le territoire français.
L’EBG a proposé à Gilles Babinet, Président du Conseil National du Numérique, de présider le comité éditorial qui a pour mission de préparer les thèmes auxquels seront confrontés les candidats.
Au programme :
Le Comité Editorial sera représenté par l’EBG (initiateur du projet) :
- Stéphane Richard, Président élu, Didier Quillot, Président sortant, Philippe Rodriguez, VP Relations Publiques.
Organismes représentatifs de l’Economie Numérique :
- Conseil National du Numérique (CNN) - Gilles Babinet, Président
- Fédération de la Vente à Distance (Fevad) - François Momboisse, Président
- Internet Society (ISOC) - Gérard Dantec, Président du chapitre français
- Syntec Numérique - Guy Mamou Mani, Président
- Véronique Morali - Présidente de Fimalac, Terrafemina
Twitter Relais Officiel : Cet évènement profitera de la complicité de Twitter, qui met en place un dispositif dédié aux grands événements (cf. débat avec Barack Obama sur askobama.twitter).
Le président du Parti radical, Jean-Louis Borloo, est l'invité du Journal télévisé de TF1 dimanche, a annoncé la chaîne alors que le doute plane toujours sur son éventuelle candidature à la présidentielle.
Il ne sera pas candidat et il explique pourquoi.
Sur EUROPE 1 : ""Le sujet de la présidentielle sera bien évidemment évoqué" par Claire Chazal, qui interrogera M. Borloo, a fait savoir la chaîne privée, sans autre précision. A la tête de l'Alliance républicaine écologiste et sociale (ARES), qui regroupe plusieurs formations de centre droit, dont le Nouveau centre (NC) et le PR, Jean-Louis Borloo manie le suspense depuis plusieurs mois sur sa candidature ou non à la présidentielle de 2012. Début septembre, il a assuré à ces partisans que "dans quelque temps", il "(parlerait) aux Français pour leur dire s'(il se sent) capable" d'être candidat. "J'en parlerai directement aux Français dans quelques temps", avait-il insisté.
Voilà le message de JL BORLOO aux français :
Il y a vingt ans, les valenciennois m’ont demandé de les aider à sortir d’une crise économique, industrielle et sociale d’une très grande gravité. Depuis, je n’ai jamais cessé de me battre pour les Français, notamment pour les plus démunis : relance massive de la construction de logements, rénovation totale des 450 quartiers sensibles, baisse du chômage de 10,2% à 7,7% en trois ans grâce au plan de cohésion sociale, accompagnement de la mutation écologique de notre pays dans le cadre du Grenelle de l’Environnement. Pendant les neuf années que j’ai passées au sein du Gouvernement, j’ai toujours essayé d’être un bâtisseur, un rassembleur, un « tiers de confiance », tout en restant l’avocat des plus fragiles. Ma plus grande fierté est d’avoir été un ministre de « missions », souvent difficiles. Il y a un an, j’ai lancé un appel en faveur d’un virage social. Cet appel, hélas, n’a pas été entendu. Ceci s’est traduit par un profond déséquilibre au sein de la majorité que je n’ai cessé de dénoncer. J’en ai, pour ma part, tiré toutes les conséquences sur un plan personnel et politique. J’ai ainsi refusé de participer au Gouvernement, j’ai quitté l’UMP et j’ai créé, autour de l’Alliance républicaine, écologiste et sociale, un nouveau pôle d’équilibre.
J’ai également repris ma liberté. Au cours de ces derniers mois, j’ai travaillé très en profondeur pour comprendre les origines de la crise que nous connaissons, pour bâtir une vision et pour proposer un projet autour de mes priorités : la formation et la qualification de jeunes, l’école primaire, l’égalité des chances, la diversité, la baisse des prix du logement, la lutte contre le chômage, la croissance verte. J’ai réfléchi au moyen de défendre mes convictions. L’élection présidentielle étant devant nous, je m’y suis préparé patiemment et méthodiquement avec l’aide de mes amis et j’ai donné rendez-vous aux Français, à l’automne. À aucun moment, je ne me suis inscrit dans les schémas traditionnels des petites phrases, des négociations secrètes et des rapports de force.
Quelle est la situation aujourd’hui ? Quelle est mon analyse ? Tout d’abord, force est de constater que la dynamique des centres ne s’est pas créée : ni sur le projet, ni sur les hommes. Les raisons en sont multiples : manque de temps, malentendus, incompréhensions. J’en prends, évidemment, ma part de responsabilité. Sans cette dynamique, je ne vois pas comment une candidature centriste peut prétendre accéder au second tour et l’emporter. Je reste néanmoins convaincu que la France a besoin d’une grande formation humaniste, profondément européenne, assumant pleinement la diversité de notre pays.
Par ailleurs, la France, comme le reste du monde, fait face à une crise sans précédent suscitant un sentiment de crainte, de repli sur soi et de peur. Elle favorise également le développement de mesures simplistes, la recherche de bouc émissaires et le populisme. S’y ajoute un climat de suspicion généralisé lié à un interminable feuilleton judiciaire qui n’épargne aucune institution. Le risque populiste, en France comme en Europe, est réel. Et je ne veux pas faire courir ce risque aux Français. J’ai le sens de l’Etat et je suis un honnête homme. L’élection présidentielle n’est pas un concours d’ego ou de notoriété. Encore moins, le prologue de négociations à venir.
Je sais que ma décision va décevoir mes amis. Il aurait été bien plus facile de profiter des difficultés de la majorité, et notamment de la défaite au Sénat, pour exister et me démarquer. Mais, c’est une lecture trop rapide et superficielle. Je veux rassurer mes amis : je n’ai rien demandé, rien négocié, et surtout rien abandonné de mes convictions. Je vais continuer à me battre pour mes valeurs républicaines, écologistes et sociales. Je vais continuer à me battre pour que l’on cesse d’opposer les Français les uns aux autres. Et je vais continuer à me battre pour accélérer la recomposition du paysage politique français. Je suis, plus que jamais, un homme libre et déterminé à servir les Françaises et les Français.
288 voix ont été comptabilisées. 6 personnes n’ont pas indiqué de choix ou ont indiqué un choix absurde rendant le bulletin nul. On relève ainsi quatre Nafissatou Diallo. Comme le montre le graphique ci-dessous, Martine Aubry est arrivée en tête avec une majorité (relative) de 38%. François Hollande est deuxième. La surprise vient de Manuel Valls qui totalise 18% des voix.
via perso.ovh.net
Voici un sondage mené par la section Jean Say de Sciences Po.
C'est tellement gros que j'ai du mal à y croire.
Je résume avec mes mots à moi : Nafissatou Diallo fait 4 voix, elle est battu donc de trois voix par Royal et de deux voix par Baylet.
Eres se lance dans le e-commerce
La maison Eres ouvre sa première boutique en ligne lundi 24 octobre, destinée dans un premier temps au marché européen. Avec ce nouveau canal de distribution, la griffe de lingerie et balnéaire de luxe va accroître sa visibilité dans des zones où Eres rimait jusqu'alors avec rareté.'
L'onglet e-commerce du site Eres sera opérationnel à partir du 24 octobre prochain, à destination du marché européen. On y trouve une sélection de maillots issus de la collection été 2012, la lingerie Christmas et des modèles extraits de la collection permanente. Le partenaire
A travers l'interview du Directeur Général de ERES quelques mots sur la nouvelle boutique en ligne de ERES qui devra livrer toute l'Europe d'ici quelques jours...
J’ai assisté ce matin à la réunion publique « Rénover la gouvernance et l'écosystème de l'économie numérique de la France » s’est tenu au Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie. Je représentais l’EBG.
Beaucoup de participants : la filière STIC, ACSEL, EBAY, AFDEL, PARTI PIRATE, Chapitre Français de INTERNET SOCIETY (IETF, .ORG) , quelques lobbyistes (Clients IT Logiciel libres), Fédération Française des Telecoms, Groupement des Entreprises des Services en Ligne, PAGES JAUNE GROUPE, SAP, Syntec numérique, FEVAD, AFDEL, Conseil Général de l’Industrie et Energie.
Après avoir présenté rapidement l’EBG, j’ai donné les quelques sujets sur lesquels nous pensions voir un intérêt à focaliser l’énergie d’un nouveau plan pour la France Numérique.
Sur le volet Compétitivité / Croissance de l’écosysteme
1) Développer une offre de Cloud Computing européenne. Sans en faire une offre « publique », volonté de l’état de créer une offre privée. Définir le rôle de l’Etat pour créer une offre privée européenne ?
2) Développer une vraie pratique du télétravail avec des télé-centres performants dans toutes les régions. Télétravail privé hébergé dans des infrastructures publiques ?
3) Développer un marché Européen pour le numérique et spécifiquement le commerce électronique. Une harmonisation nécessaire pour combattre le casse-tête juridico administratif.
4) Internet des objets : focalisation en donnant une primauté à cette filliaire compte tenu de notre patrimoine industriel favorable.
Sur le volet Fracture numérique & Intégration du numérique dans l'éducation
1) Le Numérique au cœur de la formation initiale
.2) L’enseignement supérieur : une grande école supérieure du numérique
3) E-learning vidéo/sociale : Utilisation des TICE pour déployer des contenus scolaires et extra scolaires ( formation continue ) dans la francophonie. En utilisant mieux les dispositifs vidéos et de réseaux sociaux
Enfin sur le volet : Identité Numérique & Open Data
1) Infrastructure Une Carte d’Identité Electronique pour l’Internet
2) Open data
Je n’ai pas parlé de la gouvernance, beaucoup l’ont fait avant moi. Ni d’aménagement fiscal, beaucoup ont donné beaucoup d’idée pour maintenir les aides de type crédit d’impôts.