Je voulais écrire que Foo Fighters enflammèrent la Seine à Rock en Seine, mais l’eau ça bout. Et nous aussi on a faillit bouillir, tant l’énergie débordante du groupe réchauffait les milliers de personnes devant la seine des fighters.
Dave Grohl au mieux de sa forme, les Foo Fighters plein d’énergie, nous ont régalé d’un rock/grunge solide souvent mélodieux et pleins de surprises.
Dave Grohl comme à son habitude a fait preuve de pragmatisme en proposant de faire sauter les rappels pour pouvoir jouer plus… il a aussi réprimandé la sécurité pour leur demander de rester cool avec le public et surtout les kids venus s’amuser.
“Hey you security guys, keep cool with the kids, they are just…fucking kids”
Rappel qu’il avait récemment ordonné à un fan de quitter immédiatement son concert à Londres en parce qu’il frappait volontairement les autres dans un pogo :
"Tu ne te bats pas à mon concert, toi, trou du c**. Laissez-moi le voir, qui se bat là, maintenant? C'est ce gars au t-shirt rayé. Hé imbécile, regarde moi, tu sors de mon concert immédiatement!",
Après s’être décrassé les oreilles et absorbé une tonne d’infra-basses chez CSS, nous avons la chance d”ecouter THE KILL puis on file voir et entendre General Electrics, la pêche totale !
Allez c’est reparti pour une belle journée avec beaucoup de concerts dans le Parc : BB Brune, the Wombats, INTERPOL, KEREN ANN et enfin … Artic Monkeys. ( Ecouter ici )
On ira bien sûr finir par la techno de Etienne de Crecy
L’annonce mercredi de la taxation supplémentaire de produits tels que les sodas et les parcs d’attraction, a inspiré Twitter, qui a aussitôt réagi avec la création du Hashtag #InventeTesTaxes. Un Hashtag qui a réussi à se glisser avec humour dans un fil twitter largement dominé par l’hommage bien mérité rendu à Steve Jobs (dont je vous recommande les deux meilleures vidéos ici (lancement de McInstosh en 1983) et ici (conférence de Stanford en 2005). Je vous propose ci-dessous ma sélection des 10 suggestions de taxes qui m’ont le plus fait sourire, extrait du top 30 publié sur l’espace You du journal Le Parisien. Mais il y en a surement quelques unes qui m’ont échappées, et de nombreuses autres à inventer… A vous de jouer !
Le mouvement est soudain, il est massif, il semble venir de nulle part sinon de l'opinion pas silencieuse du tout.
C'est à la fois une action ludique et militante! Ce type de communication d'un ordre nouveau montre une fois de plus le caractère innovant de la prise de parole des citoyens dans les réseaux sociaux.
Nicolas Bordas le souligne avec justesse...
C'est reparti pour l'édition 2011 de Rock en Seine. Je serai fidèle au rendez vous comme chaque année et avec mon fiston.
Merci de me laisser un petit message si vous êtes sur place! (Commentaire dans ce blog, ou sur facebook, ou RT sur Twitter)
PS: pour ceux qui cherchent des places il me reste 1 pass 3 jours...
Des grosses pointures, des divas rock, de la French Touch et un soupçon de clubbing au programme de cette année...
C'était l'une des vidéos qu'on a le plus eu plaisir à faire tourner cet été. Dave Grohl, le leader des Foo Fighters, l'une des têtes d'affiche de Rock en Seine, interrompait un concert début juillet à Londres. «Non, non, non, arrête. On ne se bat pas lors de mon spectacle, espèce de trou du cul!» Et façon pub Old Spice («Hey you! Look at you! Look at me!»), de lui demander de partir sur-le-champ: «On ne se bat pas à mon concert, on vient pour danser.» Vous voilà donc prévenus. Le rock alternatif des Foo Fighters se pratique sans les doigts dans l'œil du voisin. Et en chantant... Plaisir de la bouche.
Une dégustation sans modération
Pour en rester au stade oral, pourquoi ne pas suivre la proposition du titre du dernier album des Arctic Monkeys, sorti en juin dernier: Suck It and See. Le groupe britannique indie rock, lui, avait moyennement goûté le fait que des supermarchés américains masquent la pochette du disque. De toute façon, la dégustation sans modération des Artic Monkeys s'adresse aux oreilles. Pour le rock qui se boit au goulot, jusqu'à la dernière goutte, c'est plutôt du côté de l'abrasivité sexy de The Kills qu'on va étancher sa soif.Cul sec aussi pour les vétérans californiens et metal de Deftones. Pour amortir les descentes raides, Archive a convié en deuxième partie de son spectacle un orchestre symphonique. Une nouvelle manière pour le groupe protéiforme de démontrer qu'il a plus d'une corde à son arc.
Joël Métreau
via www.20minutes.fr
Crédits photo : MISHA JAPARIDZE/ASSOCIATED PRESSAprès sept ans d'existence, la crise de couple guette Facebook et ses utilisateurs les plus fidèles. En effet, les premiers adeptes des réseaux sociaux commencent à s'en détourner, révèle une étude du cabinet de conseil Gartner menée auprès de 6 295 internautes âgés de 13 à 74 ans dans onze pays. Près d'un quart d'entre eux affirme moins utiliser leur site communautaire favori qu'au début. Cette part grimpe à 31 % chez les internautes plus jeunes, mobiles et attentifs aux marques.
Deux explications sont avancées par les internautes guettés par la social media fatigue. Un tiers d'entre eux - notamment les internautes plus âgés - invoque des inquiétudes sur la protection de leur vie privée en ligne. Chez les cibles plus jeunes, c'est l'ennui qui explique tout simplement leur engagement faiblissant. Localement, c'est aussi la concurrence qui explique le recul de l'usage de réseaux sociaux historiques. Au Brésil et en Russie, où Facebook commence à prendre des parts de marché à Orkut et Vkontakte ou Odnoklassniki, entre 30 et 40 % des sondés indiquent moins utiliser leur site favori qu'aux débuts. «C'est une situation que les éditeurs de médias sociaux devraient surveiller de près, dans la mesure où ils vont devoir innover et se diversifier pour conserver l'attention des consommateurs», analyse Brian Blau, directeur de recherche chez Gartner. Maintenir son audience et rester pertinent pour les utilisateurs est notamment un enjeu majeur pour Facebook, qui tire la majorité de ses recettes de la publicité. Or, la situation financière du réseau social, qui revendique 750 millions de membres actifs dans le monde, va en effet se trouver sous le feu des projecteurs dans les prochains mois, dans la perspective d'une introduction en Bourse attendue au premier trimestre 2012.
via www.lefigaro.fr
Même les réseaux sociaux sont mortels. Avec l'arrivée de Google+ dans le paysage, il y a-t-il de la place pour autant de réseaux sociaux? Facebook va devoir se réinventer avant son introduction en bourse...
Je pense qu'il est vraiment possible de se soutenir efficacement et de s'aider via les réseaux sociaux, et que cela va bien au-delà des likes ou des +1 distillés de-ci delà.
Pour cela, nous* proposons la constitution d'un twinome, néologisme basé sur la concaténation de Twitter et de Trinôme. Dans un twinome, chaque participant communique avec les deux autres participants dans une proportion de 20% public et 80% privé. Il n'est pas nécessaire de beaucoup se voir in real life pour former un twinome. Il suffit de pouvoir se faire confiance à 100% et de disposer d'une vraie disponibilité pour les échanges en privé, par exemple les direct messages sur Twitter. Je recommande d'établir une chaîne ininterrompue de messages privés entre chaque membre du twinome et les deux autres. Pour respecter le rythme de l'autre, il suffira d'attendre tranquillement qu'il ait répondu avant de le relancer.
Intéressant de se rappeler que Vernor Vinge avait proposé dans "Un feu sur l'abîme" le concept d'une race intelligente d'êtres ressemblant à des chiens mais qui vivent en meute et deviennent des « individus collectifs ».
Plusieurs « unités » forment une personne et l'intelligence du groupe est liée au nombre de ses membres ; les membres constituant une personne pensent par échange d'ondes sonores d'une certaine fréquence.
On trouve souvent dans la littérature de science-fiction une forme d'exploration de nouveaux usages qui finalement éclosent dans la vraie vie...
Pourquoi "Des clics et des claques" sur Europe 1 existe
Depuis hier soir 20h, une nouvelle émission a vu le jour sur Europe 1 : Des clics et des claques. Autour de Laurent Guimier et de son invité, deux professionnels de la radio et des réseaux sociaux : David Abiker et Guy Birenbaum réagissent, et Lise Pressac "fée clochette" relaie les réactions en direct des twittos.
Dans un deuxième cercle des personnalités de tous bords telle qu'Agnès Léglise (qui remplace David encore retenu en vacances pour la première semaine) font entendre leurs propos.
Dans un troisième cercle - qui est en fait le principal -, tous les internautes de France et de Navarre prennent la parole parce qu'ils ont envie de dire un truc à la radio, de pousser un coup de gueule ou encore de réagir à l'actualité voire même d'interpeller l'invité ou les personnes assises en studio.
via mry.blogs.com
Une nouvelle émission qui reprend le "flux" des informations twitter. Le message c'est le medium non disait Marshall McLuhan
dans « Pour comprendre les médias ». Le contenu d'un film est un roman, une pièce ou un opéra. Et l'effet du film n'a rien à voir avec son contenu. Le « contenu » de l'écriture ou de l'imprimerie, c'est la parole ; or, le lecteur ne porte à peu près pas attention à l'imprimé ou à la parole. [p. 52]
Ok, j’avoue, en vrai, c’est mon fils Lucas qui m’a fait découvrir Norman, un youtuber qui produit des vidéos que les jeunes ados se passent en boucle.
Il a 24 ans, ses vidéos sont super simples à tourner, avec un humour qui n’est pas sans rappeler celui de Gad.
Le Digital Hunter écrit sur lui :
Dans ces courtes séquences, Norman se moque de tout : de lui, des autres, et surtout des autres d’ailleurs. Son sujet de prédilection c’est la lose du vingtenaire en pleine mue générationnelle, bref, quand on regarde ce type c’est avant tout un pote que l’on voit…. Et ce pote, on risque de le voir encore longtemps. Norman Thavaud c’est 550 000 fans sur facebook, plus de 1,5 millions de vues sur YouTube (avec qui il a un partenariat qui lui permet de toucher une partie des recettes publicitaires) et un one man show très très prochainement…
Ce gars là a du talent, et il n’a pas besoin d’attendre que la télé l’appelle pour avoir du succès…
Dans le cadre de sa campagne visant à promouvoir Orange Cinédays, Orange a choisi de collaborer avec lui, le jeune homme, aborde le thème des génériques de films dans le premier épisode de la série Norman fait son cinéma. Le deuxième épisode intitulé Les relous est également disponible pour le bonheur des fans impatients.
Comme a son habitude, le garçon réussit à souligner avec finesse les détails de notre quotidien dans lesquels chacun se reconnaitra.
Avant de partir en vacances, pendant lesquelles j’ai lu d’autres ouvrages, j’ai eu le temps de terminer “la guerre civile numérique” de Paul Jorion.
Pour Paul Jorion, nous sommes entrés dans une période pré-révolutionnaire, à un niveau planétaire. Face au nouvel ordre capitaliste mondial, mis en place par les grandes banques, le mécontentement populaire s'amplifie.
Une situation qui pourrait mener de nombreux pays, y compris occidentaux, aux bords de la guerre civile.
Selon la quatrième de couverture voilà les questions traitées par l’ouvrage.
Aux quatre coins du globe, des groupes d'individus de plus en plus nombreux ne supportent plus les injustices engendrées par la domination d'une poignée de dirigeants, et organisent des formes de résistance par le biais de l'Internet. C'est le cas des Anonymous, ces cyber-vengeurs masqués qui prirent la défense de WikiLeaks en attaquant les sites Paypal ou Mastercard, et prêtèrent également main-forte aux révolutions tunisiennes et égyptiennes. En quoi l'utilisation des réseaux sociaux facilite-t-elle les actes insurrectionnels ? Comment les cyber-résistants s'opposent-ils à la surveillance généralisée des Etats et des grandes entreprises sur la toile ? En quoi cette guerre est-elle un affrontement entre générations ? Quels sont les points communs et les différences entre ces insurrections numériques et des événements comme la Révolution française, la crise des années 1930, voire la chute de l'empire romain ? En anthropologue, en économiste et en blogueur, Paul Jorion répond à ces questions, à partir de l'analyse des mécanismes historiques de la crise financière mondiale et du ressentiment populaire qu'elle a engendré. Il revient également sur son parcours intellectuel et professionnel, et sur la création de son blog, grâce auquel il a pu constituer un véritable laboratoire d'idées.
OWNI interroge l’anthropologue :
« Internet, c’est la démocratie directe » (*)
Quel a été l’évènement déclencheur qui vous a poussé à écrire La guerre civile numérique ?
L’évènement déclencheur a été le refus de Paypal et Mastercard de transmettre à Wikileaks les donations qui lui avaient été faites. Du point de vue des règles du commerce, c’est incroyable. C’est une chose qui ne se fait pas, c’est tout simplement interdit par la loi. Là, il s’agissait clairement d’une interférence des pouvoirs publics, d’une décision du gouvernement américain pour sanctionner Wikileaks. Avec cet événement, on est sorti du cadre démocratique. C’est un événement très grave, vraiment très grave. Pour moi, cela équivalait à une déclaration de guerre.
