Belle journée dans la belle ville de Murcia , fondée par les Musulmans dans les années 800, au cœur de la vallée du Segura. Ils avaient construit un réseau de canaux, des barrages des acqueducs complexes. Murcie s'est fait également connaitre aussi par ses céramiques, mais aussi l'élevage de la soie...
Beaucoup de bâtiments datent du XVIIIeme siècle, époque très prospère de la ville..
Vous vous souvenez du rubik’s cube des années 80?
Ce jeu inventé en 1974 par le Hongrois Ernő Rubik, est un casse-tête géométrique à trois dimensions composé de 27 petits cubes (en réalité 26, car il n’existe pas de cube central) qui, à première vue, paraissent pouvoir se déplacer sur toutes les faces et ont l’air libres de toute attache sans tomber pour autant. Un système d’axes, dont le mécanisme a été breveté par son auteur, Ernő Rubik, se cache au centre du cube.
Entre 80 et 82, au sommet du succès du petit cube, il s’en est vendu 100 millions. Vous imaginez quelques euros de royalties pour M. Rubik. Suffisamment pour mettre un peu de côté pour sa retraite.
J’ai beaucoup de souvenirs de ce jeu parce que nous l’avions emporté, mon frère et moi, pendant les vacances d’été en Espagne. Comme je pars demain, j’y pensais un instant.
Mais voici qu’est venu le Néocube, je ne sais pas si c’est très difficile à faire mais on retrouve un peu de la magie du puzzle en trois dimensions et la dextérité associée pour pouvoir trouver les bonnes combinaisons.
L’ensemble des vidéos sont sur la chaine google du neocube.
Après la folie du «planking» née en Australie via Facebook (le but étant de se photographier allongé dans les endroits les plus improbables, tête vers le sol), la nouvelle marotte du Web s'appelle le «Rickrolling». «Rick» comme Rick Astley, le chanteur à la chevelure poil de carotte qui squatta les charts américains dans les années 1980 avec son tube disco-pop «Never gonna give you up».
.. Mais cette fois, les Australiens n'y sont pour rien. La vanne, qui consiste à faire suivre le lien du clip de Rick Astley sur YouTube lorsqu'on veut envoyer balader quelqu'un, est signée Brian Deese, le conseiller économique de Barack Obama ! Et c'est sur le compte twitter de la Maison-Blanche que tout a commencé. A la réaction d'un utilisateur de Twitter, un certain David Wiggs, qui confie son profond «ennui» au milieu d’un débat sur la dette fiscale aux Etats-Unis, Brian Deese lui répond, du tac au tac : «Désolé d’apprendre que vous vous ennuyez. La politique fiscale est importante mais elle peut être un peu difficile à digérer. Voilà qui est plus amusant : ( lien vers «Never gonna give you up» ).
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Si le gag n'est pas tout à fait nouveau, - en 2007 la même chanson de Rick Astley apparaissait déjà dans de faux liens, sur des forums ou dans des messages via les réseaux sociaux - le «Rickroll» était plus ou moins tombé dans l'oubli. Le conseiller d'Obama l'a donc ressuscité.
Depuis, des millions de «followers» ont pris un malin plaisir à retwitter la blague et à se la réapproprier. La Maison-Blanche, elle, s'en amuse et se paye par la même occasion un bon coup de pub.
Le parisien nous fait par de cet humour potache de la Maison-Blanche sur Twitter.
Non seulement la communication change par la facilité de connexions, mais on voit aussi qu'elle change dans sa forme. C'est incroyable aussi de voir comment dans un processus mimétique, l'origine de ces memes ne sont pas forcément où on les attend. Cette fois ci de n'est pas l'underground qui fournit l'origine du meme (http://en.wikipedia.org/wiki/Internet_meme), mais c'est le pouvoir lui même.
Une infographie intéressante pour comparer les différents graphes sociaux mis en place pour virtualiser nos relations sociales.
On pressent bien que le mode de connexion se complexifie pour pouvoir répondre au mieux aux différents cas possibles. Par exemple le mode de fonctionnement purement symétrique de Facebook ne suffit plus pour décrire les cas de relation assymetriques que propose twitter. Google plus va plus loin en créant des sous ensemble de relation assymetriques... Bizarrement a l'usage Google plus parait très simple.
Au moment où un grand nombre d'internautes sont éduqués a l'usage de Facebook, il font l'apprentissage de nouveaux réseaux sociaux. En espérant que tout ceci n'aille pas trop vite et que l'on en perde sur le chemin....
Captain'Commerce teste un nouveau site du jour.
J’aime beaucoup le traitement graphique, j'apprécie le choix des polices, et surtout la légèreté du tout.
La section pour créer son coffret cadeau est bien pensée.
Bien que les alignements soient un peu bizarre de temps en temps, on sent que la création a été soignée. Du coup, on a envie tout acheter!
Edelices est une boutique qui propose plusieurs produits du domaine de l’épicerie fine. Créé en 2009 par deux jeunes amateurs de cuisine, le site a pour objectif de faire découvrir de nouvelles saveurs à un prix abordable.
La gastronomie proposée est très variée. Ainsi, vous pourrez apprécier les produits de la mer, les viandes, condiments en passant par les huiles, le café et le thé. Il y a même une section foie gras / truffes pour les plus gourmands. En ce qui concerne la qualité des produits, on peut lire sur leur page de présentation que nos chers e-commerçants accordent une grande importance sur cet aspect. Quand au site, c’est plutôt abordable. Certes des améliorations sont possibles mais l’ensemble reste agréable en ce qui concerne la navigation et les fiches produits.
via www.capitaine-commerce.com
Chiffrée à deux euros par mois par Martine Aubry lors d'un déplacement au Festival d'Avignon, la rémunération des artistes et des auteurs à l'heure du numérique pourra être revue à la hausse. Le député PS Christian Paul estime que le taxe pour la licence globale pourra être plus élevée si d'autres domaines sont intégrés. Mais les internautes ne seront pas les seuls à payer.
via www.numerama.com
Donc, le parti socialiste, ou du moins la candidate aux primaires socialiste, Martine Aubry veut de la licence globale.
"une contribution massive" des internautes qui fait que le téléchargement devient légal par la loi, et que le financement de la création est financée par une taxe payée en amont de l'utilisation. Pour ma part, je crois beaucoup plus à la justesse d'une licence globale optionnelle. Je crois que le téléchargement sera toujours techniquement possible, mais l'idée d'une taxe, d'un impôt qui finance la création me fait un peu froid dans le dos.
J'ai l'impression que l'on cherche à nationaliser la culture. Il faut dire que la SACEM fait des efforts constants pour répartir les recettes vers les ayant-droits de façons juste. Par exemple, savez vous que sont apportés des corrections positives aux petits ayant-droits...
Pour en apprendre plus sur la licence globale l’article de wikipedia.
En tous les cas le sondage réalisé dans l’après midi montre que les français réagissent positivement à la proposition. 70% des 1300 personnes interrogées par 01net donnaient une préférence à la licence globale comme une '”idée juste pour le consommateur et les auteurs”.
Ailleurs sur Electron libre on pouvait lire les jeunes n’ont pas peur du grand méchant hadopi
Lorsqu’on leur demande leur avis sur la loi Hadopi, voila ce qu’ils nous répondent : Sarah, 18 ans entre en première année d’études à Assas, « Je ne suis pas d’accord avec la loi, car si les DVD et les albums ne coutaient pas aussi chère (20 euros pour les DVD et 16 euros pour les albums ndlr) les gens n’iraient pas sur internet pour télécharger (illégalement s’entend, ndlr) ». Les prix des places de cinéma sont aussi mises en cause, notamment avec l’arrivée massive des films en 3D, pour lesquels le prix du ticket dépasse les 10 euros si vous n’êtes pas propriétaire d’une carte de réduction. Ariane, étudiante en première année de droit à Assas, nous dit comprendre l’idée « mais pense que la loi ne changera rien, car le téléchargement est déjà beaucoup trop développé et utilisé ». Lors de la rencontre publique, organisé par Hadopi à la Bellevilloise (Paris 20eme) au début du mois, la commission a annoncé avoir identifié un peu plus de neuf cents milles adresses IP. Charlotte, quand à elle, qualifie la loi d’obsolète, surtout pour la musique, « les artistes utilisent de plus en plus ce système de téléchargement sur internet, notamment au niveau des mixtapes (plus petit qu’un album, environ une dizaine de titres, ndlr)", qu’ils proposent gratuitement via des liens de direct download.
Hadopi ne fait pas peur aux jeunes pirates, qui pensent que c’est la loi qui est en retard par rapport aux usages :
"L’Etat à réussi à faire fermer certaines plateformes de téléchargement comme Limewire au moment où le téléchargement entrait dans l’ère du torrent. Aujourd’hui l’Etat veut supprimer le torrent mais nous entrons dans l’ère du streaming. Au final Hadopi ne fera qu’accélérer le processus de l’évolution du téléchargement », soulignent-ils.
Le Minitel, invention française qui a équipé jusqu'à neuf millions de foyers dans l'Hexagone, va disparaître définitivement mi-2012. Avec l'essor de la Toile, la fin du petit cube en plastique, notamment célèbre pour l'accès à ses services en "3615", avait déjà été proclamée à plusieurs reprises. France Télécom, qui l'a lancé en 1982, lui a finalement accordé un dernier sursis de neuf mois, annonçant, mercredi 20 juillet, la fin du Minitel au 30 juin 2012.
L'opérateur a retenu officiellement cette date pour "l'arrêt technique de son offre X25", le nom de code utilisé par ses ingénieurs pour désigner le réseau qui fait
fonctionner le Minitel, que France Télécom Orange prévoyait jusqu'ici de fermer le 30 septembre 2011.
"Même si le Minitel fait toujours du chiffre d'affaires, les usages et le trafic sont en nette décroissance. Il se dirige vers une mort naturelle"
, selon un porte-parole d'Orange.
APOGÉE EN 2002
Le Minitel a connu son apogée en 2002, équipant alors neuf millions de foyers et entreprises. Mais il n'a jamais réussi à s'exporter au-delà des frontières françaises. Fin 2010, il ne restait plus que huit cent dix mille terminaux classiques en circulation. Le service était par ailleurs utilisé par neuf cent cinquante mille personnes sur ordinateur, grâce à un logiciel lancé en 2000 qui permettait d'y
accéder via Internet, mais va également disparaître.
Le chiffre d'affaires du Minitel a atteint son point culminant à la fin des années 1990 avec un milliard d'euros de revenus, mais il n'a cessé de décliner depuis. Il est tombé l'an dernier à 30 millions d'euros bruts, sur lesquels France Télécom